photo More Aura - Véronique Tuaillon

More Aura - Véronique Tuaillon

Spectacle, Cirque - Marionnette

La Ferté Macé 61600

Le 20/05/2025

Christine, c’est une boxeuse au look décalé avec des jambes interminables et un nez de clown. Elle ressemble à Julia Roberts, mais elle a un nez de clown et des dents abîmées. Elle fume, elle boit du rhum et arbore fièrement son rouge à lèvres. Christine est là, dans la vraie vie, avec nous, maintenant, dans l’instant. Mais elle est aussi dans son monde, avec l’énergie d’une Mary Poppins. More Aura est né du désir fort de parler de la mort. Ou plutôt du combat pour la vie lorsque l’on côtoie la mort. Aborder la force, la résilience mais aussi les cassures et la fragilité. Christine, interprétée par Véronique Tuallion et créée en collaboration avec Rémi Luchez, incarne ces thèmes avec naïveté et simplicité. More Aura est un spectacle sur la douce folie qui nous permet parfois de rester debout. Un spectacle drôle et émouvant. Une programmation proposée dans le cadre d’un partenariat entre la Communauté d'Agglomération Flers Agglo et C’61.

photo More Aura - Véronique Tuaillon

More Aura - Véronique Tuaillon

Spectacle, Théâtre, Théâtre

LA FERTE MACE 61600

Le 20/05/2025

Christine, c’est une boxeuse au look décalé avec des jambes interminables et un nez de clown. Elle ressemble à Julia Roberts, mais elle a un nez de clown et des dents abîmées. Elle fume, elle boit du rhum et arbore fièrement son rouge à lèvres. Christine est là, dans la vraie vie, avec nous, maintenant, dans l’instant. Mais elle est aussi dans son monde, avec l’énergie d’une Mary Poppins. More Aura est né du désir fort de parler de la mort. Ou plutôt du combat pour la vie lorsque l’on côtoie la mort. Aborder la force, la résilience mais aussi les cassures et la fragilité. Christine, interprétée par Véronique Tuallion et créée en collaboration avec Rémi Luchez, incarne ces thèmes avec naïveté et simplicité. More Aura est un spectacle sur la douce folie qui nous permet parfois de rester debout. Un spectacle drôle et émouvant. Une programmation proposée dans le cadre d’un partenariat entre la Communauté d'Agglomération Flers Agglo et C’61.

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]